•  Les taux immobiliers sont annoncés à la baisse pour un T4 en 2010. Cette baisse joue surtout en faveur des acheteurs, elle augmente leur pouvoir d’achat.

    Le problème, c’est que dans l’état de post-crise actuel, ce sont les vendeurs qu’il faut encourager, et non les acheteurs, ces derniers étant déjà prêt à l’achat. Cependant, il faut espérer qu’en facilitant un maximum les processus d’achat, cela donnera plus l’impression aux propriétaires qu’ils font effectivement face à des acheteurs plus solvables.

    3. A la vue de ce marché immobilier prêt à flamber de nouveau, certains leaders d’opinion tentent d’ores et déjà d’encourager les propriétaires, à l’image du président de la chambre des notaires de Paris : il explique ce qui a été mentionné plus haut, que les taux immobiliers sont historiquement bas. Avec le slogan: “Vendeurs: vendez, acheteurs: achetez”, le président de la Chambre des Notaires de Paris cherche à balayer l’incertitude des propriétaires en expliquant que les prix vont probablement se stabiliser au niveau actuel.

    Fin 2010, le marché de l’immobilier en France est encore incertain, mais beaucoup de choses portent à croire que les transactions immobilières vont repartir de plus belle très bientôt. Aujourd’hui, le marché immobilier traverse une phase d’aboutissement de l’ascension des prix, où acheteurs comme vendeurs lèvent haut le menton pour voir si la route commence à descendre derrière ce qui ressemble à un point culminant.


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    Diagnostiqueurs immobiliers : un chiffre d’affaires en recul de 3%

    Les temps sont durs pour les diagnostiqueurs immobiliers. L’institut d’études économiques Xerfi a calculé un recul de 3% du chiffre d’affaires de ce secteur et prévoit une nouvelle baisse de 4 % .
    Trois principales raisons à ce recul:

    • le ralentissement du marché immobilier,

    • la diminution des prix des prestations,

    • l’image écornée de la profession.

    Des prestations de diagnostic immobilier au rabais

    Les services de diagnostic immobilier connaissent une chute de prix depuis quelques années, notamment à cause de l’offre surabondante de prestataires. Les comparateurs disponibles sur internet et l’affichage obligatoire du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) dans les annonces immobilières ont aussi contribué à exercer une pression sur les tarifs.

    Une perte de crédibilité de la profession

    Les médias ont également épinglé le manque de fiabilité de certains diagnostiqueurs de performance énergétique cet automne. Suite à cela, le gouvernement a mis en place un durcissement des conditions d’accès à la profession, via une re-certification des compétences. Les plus petits acteurs du marché en pâtissent.


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    Vous vendez votre bien immobilier ? Avant de faire appel à un diagnostiqueur certifié pour faire réaliser les diagnostics immobiliers, pensez à vérifier la validité des expertises que vous possédez déjà. En effet, lorsque vous vendez un bien immobilier vous n’êtes pas toujours obligé de refaire la totalité des diagnostics.

    Réutiliser les diagnostics à durée illimitée

    Si vos diagnostics immobiliers ont une durée de validité illimitée, ou s’ils sont toujours en cours de validité, vous êtes en droit de les réutiliser. Voici ce qu’il faut retenir.

    Les diagnostics loi Carrez et amiante possèdent une durée de validité illimitée. Concernant le diagnostic de superficie Carrez, si aucun travaux n’a été effectué ce diagnostic est donc toujours recevable. Il en est de même pour le diagnostic amiante. Si aucune trace d’amiante n’a été détectée lors d’une première expertise, vous pouvez joindre le rapport établi au DDT (dossier de diagnostics techniques).

    Les autres diagnostics possèdent des durées de validité différentes selon leur nature.

    Si ces derniers sont toujours en cours de validité il n’est pas nécessaire de les faire réaliser de nouveau.

     


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    Aux Etats-Unis, après le passage plus que ravageur de la dernière crise immobilière, les ventes ne repartent pas malgré des taux de crédit plutôt avantageux. A Dubai, après une période de forte croissance, le prix de l’immobilier a fait une chute libre en 2009 pour perdre 50% de sa valeur. Aux Etats-Unis comme à Dubai, le crash immobilier a forcé le retrait des acheteurs. A l’heure actuelle, en France, la crise en est à un autre stade: Les acheteurs sont bien présents, c’est l’offre qui est absente notamment en région parisienne.

    Ces dernières années, en France, l’’instabilité économique ayant renforcé la valeur de la pierre, les propriétaires français s’y sont attachés pour traverser la crise. D’où une baisse de l’offre et une augmentation des prix. Dans la capitale, les vendeurs profitent de cette pénurie pour gonfler leurs prix, sachant qu’ils trouveront preneur quoi qu’il advienne. De l’autre côté, les personnes désirant faire l’acquisition de murs font la queue et paient le prix fort. Ceci explique la hausse globale des prix 2010 confirmée par la FNAIM.

    Cependant, plusieurs opportunités vont probablement atténuer la timidité des propriétaires, et peut-être contribuer à la remise en confiance des vendeurs.

    1. L’État français possède 60 millions de mètres carrés représentant 45 milliards d’euros. Il se trouve cependant que la gestion du parc immobilier étatique français est plutôt mal optimisée, et que certaines restructurations permettent aujourd’hui à l’’État français de revendre des unités de ses biens immobiliers. L’État français aura récolté 1.4 milliard d’euros en cession immobilière en 2008. D’ici à 2013, ce ne sont pas moins de 1700 biens qui vont être mis en vente, ce qui garantit un revenu non négligeable pour le gouvernement, mais surtout une remise en marche des mises en vente sur le territoire français.


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  •  Les prix se stabilisent à Nice, dans les Alpes-Maritimes

    Le marché immobilier semble prêt à repartir dans les Alpes-Maritimes. D’une part les taux des prêts immobiliers sont très attractifs, comme dans le reste de la France, et d’autre part les notaires observent un nouvel équilibre sur le marché de l’immobilier niçois. Les prix des appartements anciens se stabilisent à -0,6 % par rapport à l'an dernier, après deux années de baisse plus marquée. Vous recherchez un bien à acheter à Nice ?

    Investir à Nice: c'est possible dès 2380 euros le mètre carré

    Selon les données des notaires datant de fin 2014, il est possible d’acheter un appartement ancien à Nice à partir de 2380 €/m² dans les quartiers nord. Dans les autres quartiers, le tarif prend l'ascenseur jusqu’à 5210 €/m² dans les résidences les plus cotées. Quant au prix moyen des maisons, il s’est établi à 450.000 € fin octobre dans les Alpes-Maritimes.

    Investissement immobilier : des taux attractifs à Nice

    Il n'y a pas que le soleil qui attire les investisseurs à Nice. Les taux de prêt immobilier y sont aussi attractifs. Selon le courtier Empruntis, il est à présent possible d'emprunter à des taux compris entre 2,20 % et 3,20 % sur 20 ans. Si le retour des investisseurs immobiliers est espéré sur le marché niçois, il implique l'arrivée de programmes neufs, nécessaires pour investir en loi Pinel, avec les avantages fiscaux que cela permet. Or les prix des terrains dans les Alpes-Maritimes, prohibitifs, dissuadent encore les promoteurs.

     


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